Essayez de vous traiter par la philo … et par un philosophe !
Robert Alexander est né en 1961 à Bruxelles. Docteur en philosophie de l’Université de Toulouse, titulaire d’une licence et d’une agrégation en philosophie de l’Université libre de Bruxelles où il est actuellement collaborateur scientifique, il est également membre statutaire du Centre d’Etudes de la Philosophie Classique Allemande et de sa Postérité (CEPCAP) à l’Université Paris-Sorbonne, il a travaillé dans de nombreux milieux professionnels, de l’Université à l’enseignement, en passant par la recherche, la médiation sociale, la gestion d’une entreprise privée et l’administration publique. Ses multiples situations professionnelles ainsi que sa propre vie l’ont amené à réfléchir, à mettre au point et à utiliser une méthode de rebond personnel, appelée méthode ogkorythmique ou ogkorythmologie, susceptible de redonner souffle, rythme et vigueur à la recherche de l’équilibre tant intérieur que physique. Méthode, voie, chemin qui vise à élaborer un espace/temps de soi, à soi, permettant de vivre tous les éléments de la vie dans un milieu harmonieux, équilibré et fécond. C’est à la démarche philosophique comme dialogue et questionnement radical de la pensée que le philosophe praticien doit son succès. Et c’est au travers de la consultation philosophique qu’il met en pratique les fruits de son parcours et de sa méthode.
La consultation philosophique qu’il propose aux personnes et groupes (institutions publiques, associations ou entreprises privées) permet de clarifier les problèmes et de mener à des solutions qui respectent les objectifs de chacun. Sans pour autant s’agir d’une technique de développement personnel, d’une psychothérapie ou d’un coaching qui, dans les trois cas, reposent sur d’autres critères, affectifs, économiques ou autres, la pratique de la consultation philosophique réside entièrement sur la mobilisation de l’intelligence, de la pensée et de l’esprit, dans toutes ses dimensions comme seul rempart aux difficultés rencontrées, qu’il s’agisse, par exemple et entre autres, du stress, de conflits, de dépression ou, dans un autre registre, de transition de vie comme le passage à la retraite, la (ré)orientation professionnelle, la relation amoureuse ou parentale et, également, la gestion de projets personnels et la gestion du temps comme l’articulation vie privée/vie professionnelle.
L’avantage est de mettre en avant et de redonner vie à la dynamique intellectuelle sous-jacente à tous les problèmes rencontrés, en repositionnant les questions, en les traitant justement et en les résolvant dans les termes d’une parfaite cohérence. Ni médecine, ni psychothérapie, ni coaching, la consultation philosophique propose une approche complémentaire, voire alternative, originale qui, loin de reposer sur ce qui ne va pas, renverse la situation et prend ce qui va, peut et doit aller, pour vivre mieux, pleinement et en accord avec soi, les autres et le monde environnant.
Les ressources de la philosophie n’ont pas été utilisées à leur plein régime. Notre culture millénaire est remplie d’exemples de sagesse, depuis la Grèce antique (Socrate et son dialogue) jusqu’aux philosophies contemporaines (Husserl et sa mise entre parenthèses, Jaspers et son éclairement de l’existence, Habermas et son agir communicationnel) en passant par l’âge classique (Descartes et son doute). La voie empruntée par le philo-consultant Robert Alexander s’en inspire et puise dans le creuset de notre civilisation pour notre bien-être.
En résumé, nous sommes beaucoup plus intelligents que nous ne l’imaginons et nous n’utilisons pas toutes les potentialités de notre propre vie spirituelle et intellectuelle, qui n’excluent nullement l’émotionnel ou le corps, bien au contraire. Ce que les Orientaux ont compris depuis très longtemps. Nous aussi avons une sagesse ancestrale mais nous nous la cachons à nous-mêmes sans nous en rendre compte.
La philosophie comme pratique de consultation donne vie à cette tête mieux faite que nous pouvons le croire afin de défaire les noeuds qui, par deuil, maladie, angoisse, souffrance, solitude, violence, peur, culpabilité, échecs, difficultés dans le couple ou au travail, rendent triste, pessimiste, fatigué, déprimé ou vide de sens ; noeuds que l’existence et nous-mêmes nouons bien souvent. Nous pouvons aussi les défaire, les détendre et déployer le fil de notre vie vers la sérénité et la liberté recherchées par toute l’humanité.